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1807, Setembro, 8,
Rambouillet n.º 13132 |
A l'Infant Jean, Régent du Portugal Rambouillet, 8 septembre 1807 Monsieur mon Frère et Cousin, j'ai regardé la Paix du Continent, sur lequelle je reçois avec plaisir les félicitations de Votre Altesse Royale, comme un acheminement à la Paix maritime. Toutes les mesures que j'ai prises tendent à la rétablir; elles sont adoptées par chaque puissance que a, comme le Portugal, un intérêt direct à la faire respecter par l'Angleterre son indépendance et ses droits. Aucune demi-mesure n'aurait ni le même succès ni le même caractère d'attachement à la cause commune; et Votre Altesse Royale est amenée par ces événements à choisir entre le Continent et les insulaires. Qu'elle s'attache étroitement à l'intérêt général, et je garantis dans sa personne, dans sa famille, la conservation de sa puissance. Mais si, contre mes espérances, Votre Altesse Royale mettait sa confiance dans mes ennemis, je n'aurai plus qu'à regretter une détermination qui la détacherait de / moi et qui renverait aux chanches des événements la décision de ses plus importants intérêts. Napoléon
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© 2001-2009 Manuel Amaral